Maison Minus
Studio de tatouages
Venez découvrir le "Tattoo Shop" de Florian Facchin alias Minus à Uccle dans la capitale bruxelloise. Le tatoueur que tout le monde s'arrache a son propre terrain de jeu à son art.
Après des années d'expérience de tatouage en Belgique, à Monaco et dans les salons de tatouage du monde entier, il ouvre son "tattoo shop" en 2023. Maison Minus, c'est le shop de la référence du tatouage belge (rue Edith Cavell).
Un espace qui ne se résumera pas qu'à Minus. La demande en croissance, je voulais partager l'endroit avec d'autres tatoueurs.euses résidents.es pour ne pas frustrer les gens". L'objectif ? Pouvoir répondre rapidement à la demande de clients qui ne veulent ou ne peuvent pas attendre en proposant d'autres tatoueurs.euses aux styles similaires. "Pour certain.e.s, se faire tatouer est une réelle thérapie, suite à une perte, une rupture...".
Tatoueur depuis 2018, Minus s'est rapidement hissé au rang de fierté nationale. À tel point que certains clients font même le déplacement depuis l'Australie ou les États-Unis pour se faire décorer la peau de sa main experte. Même Angèle herself l'a réquisitionné pour réaliser un tattoo: un simple smiley minimaliste sur l'avant-bras. Minus est en effet devenu l'un des maîtres incontestés du tatouage fin, aussi appelé single needle. Les quatre autres tatoueurs.euses présent.e.s dans le shop à ses côtés suivent tout.e.s ce même style réaliste et minimaliste, mais avec leur patte à elleux. "L'un.e fait des portraits et des animaux ultra réalistes, l'autre est très doué en écriture, l'autre encore s'amuse à réaliser des lignes abstraites qui suivent les courbes du corps. On ne verra pas du tatouage maori ou japonais, ou des choses très épaisses. Le salon suivra une même ligne directrice".
QUELLE CLIENTÈLE ?
"Honnêtement, elle est tellement vaste", constate Tiffany. "Il y a énormément de femmes et de premiers tattoos. C'est un art qui devient rapidement addictif. Ça va de 18 à 85 ans, il y a des jeunes-filles qui viennent et reviennent avec leur grand-mère. On a des clients d'Anvers, comme du fin fond de la Wallonie, beaucoup de Parisiens, mais aussi des gens de Seattle ou d'Australie".
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